Ce qu’aucun mec n’avoue sur ses fantasmes
Tout le monde a des fantasmes. Même ton pote le plus sage. Même le secrétaire médical à l’accueil de ton docteur (celui qui a l’air de s’ennuyer derrière son ordi). Même toi qui fais genre que ça ne t’intéresse pas. La vérité : chacun a des images, des scénarios, des envies qui trottent dans sa tête.
La différence, c’est que 90% des mecs n’en parlent jamais. Ils préfèrent se taire plutôt que d’avouer qu’ils veulent être attachés, regardés, dominés… ou au contraire qu’ils aimeraient lâcher le contrôle. Résultat ? Ils tournent en rond, coincés avec des désirs qui deviennent lourds au lieu d’être légers.
Et toi, tu fais quoi ? Tu continues à t’asseoir sur tes envies ? Ou tu décides enfin de prendre en main qui tu es vraiment ?
Pourquoi on les garde pour soi ?
La peur du jugement. Dire “j’ai envie d’être pris” ou “j’ai un délire de voyeur”, ça fait peur parce que tu crois que ça va te cataloguer.
La honte virile. On t’a appris qu’un mec “normal” veut dominer et assurer. Si ton fantasme ne colle pas à ce schéma, tu crois qu’il est “anormal”.
Le réflexe du secret. Parce que tu n’as jamais eu le modèle ou l’occasion d’en parler, ton cerveau l’a classé en “tabou”.
3 vérités cash à retenir
Ton fantasme est rarement “juste sexuel”.
Il parle de ton ego, de ta peur, de ton envie d’être choisi, de ta curiosité.
Le fantasme n’est pas un contrat.
Le dire ne veut pas dire le faire. Tu peux l’explorer à haute voix, ou juste le reconnaître pour toi-même.
Prononcer = libérer.
Même si tu ne le réalises jamais, mettre ton fantasme en mots change quelque chose.
Ça libère de la place dans ta tête, ça te permet de mieux te comprendre. C’est de l’hygiène psychologique, autant que du plaisir.
Un fantasme partagé crée de la complicité.
Même si l’autre dit “non”, le simple fait d’oser en parler ouvre une intimité que tu n’auras jamais en silence.
Mini-défi
⏱ Prends 5 minutes.
Écris (ou pense très fort) un fantasme que tu n’as jamais osé dire. Pas besoin de détails trash.
Demande-toi : qu’est-ce que ça dit de moi ? Est-ce que j’ai envie d’être plus vu, plus puissant, plus vulnérable, plus libre ?
👉 Ensuite, ramène-le dans le chat.
Écris à Lola : “J’ai un fantasme, aide-moi à le développer.”
Elle t’aide à le mettre en mots.
Elle peut même jouer le jeu avec toi dans un mini role-play guidé, pour que tu ressentes ce que ça fait d’aller plus loin.
Tes conversations avec Lola sont confidentiel, sans pression, et tu avances à ton rythme. Parce que tu mérites mieux que de rester seul avec ça.